"Le pionner de la chanson chaâbi, quarante ans déjà", thème d'une conférence de Abdelkader Bendamache - Vendredi 23 novembre 2018 à 18h30

Dans le cadre de la célébration du 64ème anniversaire du 1er novembre 1954 et à l'occasion du 40éme anniversaire du décès de Cheikh El Hadj M’hamed El Anka

Dans le cadre de la 3ème édition "Passerelles Culturelles" organisée par l'Association Culturelle El Hachemi Guerouabi sous le patronage du Ministère de la Culture, en partenariat avec le Centre Culturel algérien et l'Agence Algérienne pour le Rayonnement Culturel.

Cheikh El Hadj M’hamed El Anka demeure l’axe fondamental de la chanson chaâbi dans son ensemble, durant une grande partie du siècle dernier. Décédé il y a quarante années à Alger à l’âge de 71 ans, c’est lui qui a jeté les bases de ce qu’il est convenu d’appeler « Chaâbi » aujourd’hui. Son école a donné naissance à plusieurs ramifications qui sont autant de styles et de personnalités venus enrichir ce riche patrimoine ancestral.Interprété par une femme ou par un homme, ce genre musical a toujours gardé sa saveur et son impact positif au sein des larges couches sociales.

Quarante années après sa mort, le Cardinal, comme ses fans l’appelaient affectueusement, est toujours là pour nous dire combien le chaâbi est le genre musical de l’Algérie profonde par excellence. Le 23 novembre 2018 est un anniversaire mais il est aussi un moment de reconnaissance et de débats autour du chant chaâbi, celui de M’rizek, de Guerouabi, d’El Ankis, d’El Badji, de Hassen Saïd, de Bouadjadj, de Amar Zahi, de Fadéla Dziria et de Dahmane El Harrachi...

Abdelkader Bendamèche