Centre Culturel Algérien

Avec la participation de  Nadjib Achour, Azzedine Aïnouche, Khattar Abou Dhiab, Omar Carlier, Charlotte Courreye, Ahmed Djebbar, Azzedine Gaci, Youssef Girard, Mohammed Harbi, Michel Lelong, Kénizé Mourad, Guy Pervillé, Sadek Sellam, Ahmed Taleb-Ibrahimi,...

Avec la participeront de Nadjib Achour, Azzedine Aïnouche, Khattar Abou Dhiab, Omar Carlier, Charlotte Courreye, Ahmed Djebbar, Azzedine Gaci, Youssef Girard, Mohammed Harbi, Michel Lelong, Kénizé Mourad, Guy Pervillé, Sadek Sellam, Ahmed Taleb-Ibrahimi,...

Une demi-journée sera consacrée à l’étude de son itinéraire, marqué notamment par un parfait bilinguisme et une participation active aux débats religieux, culturels et politiques dans lesquels se sont trouvés impliqués les étudiants musulmans de l’université d’Alger dès le début des années 50.
Dans l’autre demi-journée, des lecteurs de son œuvre souligneront son originalité et, dans une large mesure, son actualité.

Le professeur Ali Mérad, décédé le 23 mai 2017 à Lyon, a laissé une oeuvre considérable. Celle-ci résulte de l'étude phénoménologique du mouvement réformateur algérien dans ses connexions avec ceux de l’Orient. Mérad a ensuite élargi ses horizons pour étudier l’évolution de tout l’Islam contemporain.

De telles études nécessitaient la connaissance des principaux courants de la pensée musulmane classique, auxquels il a consacré des travaux novateurs, notamment sur l’exégèse coranique et la science du hadith. Il s’est avisé aussi d’inclure à son enseignement, dès le début des années 70, quand l’Islam est devenu la deuxième religion de France, l’examen de la situation des musulmans en Europe. Cela l'a amené à siéger dans la première commission chargée de l’Islam en France par le gouvernement au milieu des années 70.