Centre Culturel Algérien

Dans le cadre de la célébration du 70^e anniversaire du 1^er Novembre 1954  

Avec la participation de l’historien Daho DJERBAL

Modératrice : la journaliste Donia ISMAÏL

Table rond sur le thème L’esprit de la révolution du 1er novembre, projection du film Récits d'Algérie, en mission contre l'oubli, séance de vente dédicace du livre Récits d'Algérie 

A l’occasion des 70 ans de la révolution algérienne de 1954, Récits d’Algérie et le Centre Culturel Algérien organisent une soirée d’échanges et de célébrations afin de rendre hommage à ceux qui ont œuvré pour la dignité et la liberté de leurs enfants. Au programme : projections, table ronde, commémoration, ventes et dédicaces du livre Récits d’Algérie, et autres surprises ! 

Dans le cadre de la célébration du 70^e anniversaire du 1^er Novembre 1954

Suivie d’un débat avec Nils ANDERSSON, Samia ARHAB et l’historien Julien HAGE

Modérateur : le journaliste Mustapha HAMIDOUCHE

A travers sa collecte mémorielle, intitulée Mon Algérie à moi, Samia Arhab nous propose de (re)découvrir des hommes et des femmes qui ont marqué l'Histoire d’Algérie. Nils Andersson fait partie de ces militants anticolonialistes, discrets et humbles, dont le rôle a été conséquent pendant la Guerre d'Indépendance. Né en 1933 à Lausanne d’un père suédois et d’une mère vaudoise, il a toute sa vie durant, été très engagé dans l´édition militante. Il a édité La Question d'Henri ALLEG, livre censuré en France. Retour sur sa vie de militant anticolonialiste et sa "part" d'Algérie."

Dans le cadre de la célébration du 70^e anniversaire du 1^er Novembre 1954

Avec la participation de François Demerliac, Documentariste, membre de l’Association Josette et Maurice Audin

La « première guerre d'Algérie »  commença le 14 juin 1830 à 4 heures du matin, lorsque le premier soldat français posa le pied à Sidi-Ferruch. Les conquérants furent d'emblée confrontés à une force de résistance qu'ils n'avaient pas imaginée, dont la figure emblématique reste l'Emir Abd el-Kader. S'ensuivirent deux décennies d'affrontements d'une intensité et d'une violence extrêmes.
Le maréchal Bugeaud et bien d'autres officiers appliquèrent et souvent amplifièrent sur le terrain la politique répressive décidée à Paris par François Guizot, Adolphe Thiers, Jean-de-Dieu Soult, etc. Par milliers, les Algériennes et les Algériens furent humiliés, spoliés, déplacés, enfumés, massacrés, décapités...